Annonce de Jean-Marc AYRAULT

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Aujourd’hui, mardi 9 juillet 2013, à 17 heures, Jean-Marc AYRAULT, dans son discours sur les grandes orientations des « grands travaux » en France a retenu le 

Scénario 2 – du rapport de la commission MOBILITE 21

 

En premières priorités figure, pour ce qui nous concerne :

 AMENAGEMENT DU TRONC COMMUN RN 154 / RN 12 DREUX NONANCOURT

Nous ne pouvons que nous féliciter de cette décision.

Cependant, nous ne devons pas baisser la garde. Un point sera fait tous les 5 ans.

En seconde priorité dans ce scénario, figure l’aménagement de la section ALLAINES-DREUX à l’horizon 2030/2050. Il reste à savoir quel sera le lobbying local des pro-autoroute auprès du Ministre.

Vos avis et commentaires...

  1. Il faut d’autant moins « baisser la garde » que Mr J.M AYRAULT n’a pas précisé quel moyen sera choisi pour l’aménagement du tronçon commun RN 154 / RN12 entre Nonancourt et Dreux (avec comme priorité le contournement de St Rémy sur Avre).
    Il n’a pas décroché l’épée de Damoclès d’une mise en concession (qui serait la porte ouverte pour que la liaison Dreux-Allaines soit aussi à péage).
    C’est pourquoi je réitère ma proposition (cf mon commentaire sur le « racolage marketing des pro-autoroute ») qu’il serait peut-être nécessaire et opportun d’engager sans tarder, nous aussi, « un lobbying dynamique et efficace » auprès des ministres concernés, de la Chambre d’Agriculture, en portant la voix de l’ensemble des associations de défense contre la mise en concession de la liaison Nonancourt-Allaines, celle des maires, des habitants et entrepreneurs des communes traversées par les itinéraires de substitution et celle des usagers des RN12-RN154 pour que celles-ci restent RN et ne deviennent pas une autoroute à péage.
    Il faudrait contrecarrer les arguments avancés par les pro-autoroute en les reprenant point par point et en mettant en exergue ce que l’on pense être des contrevérités.
    En premier lieu il faut leur faire savoir que, contrairement à ce qu’affirment les députés et sénateurs d’Eure-et-Loir, c’est en privatisant cette liaison que notre département se trouvera économiquement marginalisé de façon durable, nos zones industrielles devenant peu commodes d’accès car n’étant plus irriguées par des voies rapides puisque la majorité des bretelles existantes sera supprimée.
    Bien entendu, la préservation écologique et celle du cadre de vie des populations concernées est très important mais les problèmes économiques, de sécurité sont primordiaux.

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